À l’aube de cette première Saint-Valentin en période de pandémie, la question est lancée : comment Cupidon opère-t-il sa magie en pleine pandémie?

Explosion du nombre de célibataires au Québec 

44,37 % de la population, c’est ce que représentent les célibataires au Québec. Du moins, c’est la proportion qui leur était reconnue tout juste avant l’arrivée de cette fameuse Covid-19. S’il est difficile d’obtenir des chiffres précis quant aux séparations et aux nouveaux célibataires depuis, les experts en droits familiaux constatent une augmentation exponentielle des ruptures et des demandes de divorces. On parle d’une hausse de plus de 100%. Ça fait pas mal de nouveaux humains sur le marché du célibat ça, hein?

Distancés et confinés, comment les célibataires peuvent-ils se rencontrer?

Si autrefois il était possible de se cogner le bout du nez sur un prince charmant à la sortie d’une brûlerie de quartier, avec les restrictions sanitaires en vigueur, cela est maintenant bien peu probable. Les applications de rencontres sont désormais le premier moyen de connecter entre célibataires à la recherche de l’amour. 

L’application québécoise GoSeeYou, téléchargée déjà plus de 100 000 fois, est l’hôte de dizaines voire de plus d’une centaine de milliers d’échanges entre célibataires chaque jour. 

« Ça varie entre 50 000 et 150 000 messages par jour. Le trafic a littéralement explosé. Ça démontre bien le grand besoin de connexion que vivent les célibataires. » rapporte Mélanie Trudel, fondatrice de l’Univers de la rencontre GoSeeYou.

La connexion humaine est le troisième palier de la pyramide des besoins selon le psychologue Abraham Maslow.  Connecter entre humains est un besoin essentiel !

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pyramide_des_besoins

Une vieille méthode, mais différemment

Les applications de dating ont souvent mauvaise presse. Et on n’en blâme personne!

Les géants de l’industrie en ont fait un catalogue d’humains à magasiner. Qui plus est, les algorithmes favorisant les profils populaires ou correspondant aux critères de présumée beauté n’ont rien aidé. D’où l’importance de bien choisir la plateforme à laquelle on adresse sa confiance

Mais avec les contraintes actuelles, on constate un changement de mentalité. Les personnes réticentes n’ont d’autres choix que d’y plonger et les redécouvrirent autrement. 

Le slow dating fait son arrivée au Québec

Le dating en ligne a souvent été associé à un mode de surconsommation et à une mentalité de consommer et jeter. Mais cela tend à changer : le slow dating prend de l’ampleur.

« C’est pratiquement impossible aujourd’hui de dater trois ou quatre personnes différentes en une semaine. Les contraintes forcent les célibataires à choisir méticuleusement leur partenaire de rencontre. Ils font attention; ils rencontrent moins, mais mieux. Il y a une conscience et un engagement plus grand dans les premières dates désormais. » raconte Mélanie. 

Bien souvent, les rencontres se font en extérieur : une marche en plein air ou quelque chose de très simple. L’accent est mis davantage sur l’humain, la discussion et les personnalités, plutôt que sur des lieux ou des activités de rencontre à la mode.  Et ça, c’est doux!

Lentement, mais sûrement?

Le temps d’arrêt imposé par la pandémie aura permis aux célibataires de s’offrir un recul, de se recentrer, de mieux se connaître, de définir leurs besoins et leurs envies. Ils ont clarifié ce qu’ils souhaitent d’une relation de couple. Peut-être verrons-nous la formation de couples plus épanouis et plus solides depuis 2020 et 2021 ?

Pour connecter en cette Saint-Valentin particulière et slowdater un.e célibataire, venez vous créer gratuitement un profil sur GoSeeYou. 

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